La meije st christophe
Depart avec le guide clement
Riders presents remy, bernard, eric, manu, fredy, herve, et alain moniteur esf et le fils de la proprietaire de l'hotel le faranchin.
8 au total.
Premiere descente sous la meije pour tester notre niveau de ski avant de basculer au col de la selle.
Petit detour vers une grosse crevasse. Des traces de ski sont presentes sur un pont de neige, inconscience ou folie de skieurs en mal de sensations.
On reprend les pioches pour attaquer la descente vefs le refuge de la selle. Le depart est raide et la neige crouteuse. Une longue traversee a la recherche d'une meilleure neige , le guide nous montre la voie, on suit les uns apres les aufres sa trace. La neuge est difficile, les virages aussi, le sjambes xommencent a chauffer.
On desespere de trouver un peu de poudre, sur notre droite , cela semble bon mais non, la croute devient moins epaisse mais il est toujours difficile d'enchainer les virages. Eric commence a fatiguer, mais a son rythme il nousrejoint sous le refuge dela selle. Au dessus de nous la belle pente a 40 ° que l'on vient de descendre. 45° par endroit. On fait une pause le temps de se remettre de nos emotions avec quelques gorgees de vervaine et d'armagnac maison. Nous voila repartis, le long d'un vallon qui va nous amener jusqu'a st christophe. La plupart du temps en traversee sur le flan gauche, on arrive a faire quelques virages dans une neige enfin excellente. Mais la frontiere entre la poudre et le croute est mince et il faut rester vigilant. Freddy en a fait la cruelle experience avec un superbe piquet du  nez, la montagne temoin du vol plane en rigole encore.
Les vallons s'enchainent inlassablement jusqu'a ce qu'on passe en rive gauche par ce qui semble etre un pont de neige. On arrive a un barrage, le dechaussage est obligatoire pour le traverser et repasser rive gauche. L'eau si cristalline a cet endroit m'invite a l'immortaliser avec mon panasonic. Un dernier effort pour enjamber une balustrade et on se retrouve de nouveau en rive gauche de ce superbe ruisseau.
Il semble que l'on soit au bout de notre periple, mais une derniere colline reste a devaler. La neige de printemps qui recouvre ce dernier troncon est agreable a skier mais a mesure que l'on descend elle se fait plus rare, alain semble prendre autant de plaisir a skier sur l'herbe que sur la neige , il sera le seul a arriver a la cordee sur ses skis. La cordee est un hotel restaurant tenu par marie claudequi nous desalterera par un 1/2 litre de biere par tete de pipe.
Au menu, joue ou langue de boeuf. 
Apres un cafe pris au lance pierre, il nous faut partir, le taxi nous attend, il est 14h15. Il nous laisse a venosc, superbe village typique au pied de la station des 2 alpes.
que l'on atteint a l'aide d'une telecabine.
Il faut se mefier car cette correspondance vers la station n'est pas toujours ouverte.
Une fois sur les pistes, un tire fesse nous monte suffisamment haut pour attraper le telecabine de jandri. On atteint le glacier a 15h25, soit 5 mn avant la fermeture des pioches du glacier. c'est tres juste aussi prevoir de partir au plus tard a14h00 de st christophe pour s'eviter une mauvaise surprise.
Au sommet du glacier, pas de ratrac pour nous ramener sur la meije. Apres avoir parcouru une bonne centaine de metre au pas du patineur juste avant que la pente ne se redresse, avec au tout en haut la meije en point de mire, clement s'arrete. Alors que bernard avait deja enleve les skis pour attaquer  la montee, clement nous fait la bonne surprise de contourner la difficulte en plongeant directement sur le glacier de la girose. Apres quelques belles series de virages, entre les crevasses,  dans les traces de notre guide,  cet itineraire bis nous ramene sur celui que l'on a l'habitude de prendre en partant du haut des pioches.  A ceci pres que l'on passe sur le dome superieur du glacier au lieu de passer classiquement en dessous.
On enchaine par le couloir de la banane, le plus difficile de la zone du lac qui en compte trois avec le couloir du patou et le couloir du xxxxx .
Personnellement, je ne l'ai jamais pris mais je fais confiance au guide qui a eut tout le loisir tout au long de cette journee d'evaluer notre technique.
Seul eric prefere contourner le lac et passer par chancel.
Pour cloturer, il nous propose meme de descendre a la grave par les freaux. Encore un lieu inconnu pour moi et du meme acabis que la banane parfois meme plus raide. On se serait bien laisser tenter mais la fatigue de la journee qui pese sur l'organisme nous incite tous a rester prudent.
Personne n'ose se lancer dans l'aventure et on rentre chacun a son rythme par la voie normale.
Ce fut une journee qui a n'en pas doute restera gravee longtemps dans nos memoires.
Merci a clement notre guide, a alain notre moniteur accompagnateur, merci a tous.

RV